Prendre en compte la géographie et le paysage favorise l’harmonie entre l’usage d’un bâtiment et son implantation sur un terrain.
Concevoir l’espace habité
Nous n’habitons pas les murs, mais l’espace entre les murs, et au-delà des murs. C’est de cet infini dont nous avons besoin entre nos murs.
Quelle communication établissons-nous avec l’environnement au-delà d’une notion culturelle et conventionnelle ? Comment établir une qualité de cadre de vie, une ambiance qui stimule notre capacité à ressentir, à être « là » ?
Se sentir « en vacances » dans son quotidien, donner du goût aux aliments, de la poésie à un texte, revient à mettre de l’infini dans les choses et donner de l’espace aux constructions leur confère un bien-être au-delà du confort.
Avant les formes, l’espace est partout, vide… rempli par notre perception et nos émotions, il contient notre vécu, nos habitudes.
Construire l’environnement
L’intégration réciproque des lieux de vie, des besoins et des techniques a fait naître l’architecture traditionnelle d’hier et fera naître celle de demain.
L’espace transitoire favorise les relations intérieur/extérieur, la communication entre les êtres, la respiration. Il reste à explorer l’aventure d’un dialogue Hommes/Lieux.
Transmettre une expérience
Pour acquérir un savoir-faire, pouvons-nous faire l’économie de l’expérience ? Comment trouver un sens à l’acte de construire sans vivre la rencontre entre la matière, l’Homme et la Nature ?
Toute expérience modifie nos a priori et nos habitudes, favorise une compréhension en nous mesurant à la matière, au temps, à l’effort. C’est un moment d’éveil d’une sensibilité personnelle, d’ouverture, ou de confirmation qui stimule une créativité.
Cantercel propose ainsi une expérience conceptuelle et globale de l’acte de construire : de la nature à l’architecture et son usage, une expérimentation de matériaux, techniques et équipements.